De l’aile effleurant mon visage, Volez, doux oiseaux de passage, Volez sans peur tout près de moi ! Avec amour je vous salue ; Descendez du haut de la nue, Volez, et n’ayez nul effroi !
Vous qui des pays de l’aurore Nous arrivez tièdes encore, Dites, les froids vont donc finir ! Ah ! contez-nous de jeunes choses, Parlez-nous de nids et de roses, Parlez-nous d’un doux avenir !
O très heureuses hirondelles ! Si comme vous j’avais des ailes, J’irais me baigner d’air vermeil ; Et, loin de moi laissant les ombres, Je fuirais toujours les cieux sombres Pour toujours suivre le soleil !
bjr , je passe te souhaiter un bon dimanche,au havre temps humide et gris 10 degres, cette humidite nous donne beaucoup de douleurs , et une fatigue pas possible , aujourd hui repos devant la tele , je n ai pas envie de rien faire, enfin ca ira mieux demain , et toi comment vas tu ??? gros bisous nadine
BJR ME VOLA CE LUNDI !!pour te souhaiter une agreable journee, il fait un beau soleil mais malgre l humidite est toujours la , la terre est detrempee, j espere que tu vas bien? moi je suis contente ma fille a signer pour son appartement , les ouvriers font les travaux a l interieur comme cela elle n aura qu a mettre ses meubles le 20janvier, elle est tres fatiguee , sa sante a du mal a s arranger avec tous ses soucis , j espere qu ils pourront lui faire demain sa chimio !!! gros bisous nadine
Poème
RĂ©pondreSupprimerDe l’aile effleurant mon visage,
Volez, doux oiseaux de passage,
Volez sans peur tout près de moi !
Avec amour je vous salue ;
Descendez du haut de la nue,
Volez, et n’ayez nul effroi !
Des mois d’or aux heures lĂ©gères,
Venez, rapides messagères,
Venez, mes sœurs, je vous attends !
Comme vous je hais la froidure,
Comme vous j’aime la verdure,
Comme vous j’aime le printemps !
Vous qui des pays de l’aurore
Nous arrivez tièdes encore,
Dites, les froids vont donc finir !
Ah ! contez-nous de jeunes choses,
Parlez-nous de nids et de roses,
Parlez-nous d’un doux avenir !
Parlez-moi de soleil et d’ondes,
D’Ă©pis flottants, de plaines blondes,
De jours dorĂ©s, d’horizons verts ;
De la terre enfin réveillée,
Qui se mourait froide et mouillée
Sous le dais brumeux des hivers.
L’hiver, c’est le deuil de la terre !
Les arbres n’ont plus leur mystère ;
Oiseaux et bardes sont sans toits ;
Une bise Ă l’aile glacĂ©e
A nos fronts tarit la pensée,
Tarit la sève au front des bois.
Le ciel est gris, l’eau sans murmure,
Et tout se meurt ; sur la nature
S’Ă©tend le linceul des frimas.
Heureux, alors, sur d’autres plages,
Ceux qui vont chercher les feuillages
Et les beaux jours des beaux climats !
O très heureuses hirondelles !
Si comme vous j’avais des ailes,
J’irais me baigner d’air vermeil ;
Et, loin de moi laissant les ombres,
Je fuirais toujours les cieux sombres
Pour toujours suivre le soleil !
bjr , je passe te souhaiter un bon dimanche,au havre temps humide et gris 10 degres, cette humidite nous donne beaucoup de douleurs , et une fatigue pas possible , aujourd hui repos devant la tele , je n ai pas envie de rien faire, enfin ca ira mieux demain , et toi comment vas tu ??? gros bisous nadine
RĂ©pondreSupprimerBJR ME VOLA CE LUNDI !!pour te souhaiter une agreable journee, il fait un beau soleil mais malgre l humidite est toujours la , la terre est detrempee, j espere que tu vas bien? moi je suis contente ma fille a signer pour son appartement , les ouvriers font les travaux a l interieur comme cela elle n aura qu a mettre ses meubles le 20janvier, elle est tres fatiguee , sa sante a du mal a s arranger avec tous ses soucis , j espere qu ils pourront lui faire demain sa chimio !!! gros bisous nadine
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