poemePourquoi, tout à coup, quand tu joues,Ces airs émus et soucieux ?Qui te met cette fièvre aux yeux,Ce rose marbré sur les joues ?Ta vie était, jusqu’au momentOù ces vagues langueurs t’ont prise,Un ruisseau que frôlait la brise,Un matinal gazouillement.
Bonjour ScarleenSuperb creations !Bon week-end !Gros Bisous
Poème L’été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte La plaine verse au loin un parfum enivrant ; Les yeux fermés, l’oreille aux rumeur...
poeme
RépondreSupprimerPourquoi, tout à coup, quand tu joues,
Ces airs émus et soucieux ?
Qui te met cette fièvre aux yeux,
Ce rose marbré sur les joues ?
Ta vie était, jusqu’au moment
Où ces vagues langueurs t’ont prise,
Un ruisseau que frôlait la brise,
Un matinal gazouillement.
Bonjour Scarleen
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Bon week-end !
Gros Bisous